« Tentatiff d’asacinat »
[Paul Verlaine, « Mes prisons »]
En juillet 1873 à Bruxelles, Verlaine étant « dans l’absinthe, tire sur Rimbaud deux coups de revolver et le blesse. Le gendarme l'écroue et notifie:
« Tentatiff d’asacinat »
Marie-Claude Thébaud a remarqué : cette faute d'orthographe vaut bien tous les discours des anarchistes.
En juillet 1873 à Bruxelles, Verlaine étant « dans l’absinthe, tire sur Rimbaud deux coups de revolver et le blesse. Le gendarme l'écroue et notifie:
« Tentatiff d’asacinat »
Marie-Claude Thébaud a remarqué : cette faute d'orthographe vaut bien tous les discours des anarchistes.